Les services civiques à JET
Si cette rentrée 2021 a été savamment ourdie par l’équipe de JET, ses membres ont été assistés dans cette tâche par trois volontaires de service civique. Tous trois ont rejoint l’association en juin dernier, pour des missions assez diverses. Voici leur histoire. (*Tatam*)
par Thomas
Clémence Pays est née un beau jour de 1997 à Rennes. Elle a su néanmoins se tirer de ce mauvais pas avec brio en achevant l’année dernière un master de journalisme à Nantes. En mission auprès du Sonolab, elle s’attache depuis plus de quatre mois à assister son équipe dans ses projets d’éducation aux médias. Dotée d’hyper-polyvalence (un superpouvoir reconnu), elle intègre une fois par semaine la rédaction de Jet FM. Elle planche alors sur certains sujets que ce soit pour la quotidienne ou à titre personnel. Elle est d’ailleurs l’autrice d’un documentaire sur l’histoire des féminismes, que vous pouvez retrouver ici.
Théo Bonnet quant à lui est en quelque sorte l’ange gardien en second de la technique de JET. En poste auprès de Salomé, vous le trouverez souvent au milieu de machines mystérieuses aux noms barbares qui font *bip* et parfois *blop*. Il est aussi (pour le meilleur, ou pour le pire c’est vous qui voyez) le principal responsable de l’habillage sonore de cette année sur nos ondes. Mais ne vous y trompez pas... "Zicos’ " accompli passé par un master d’histoire de l’art, il cache, sous ses airs de Géo Trouvetout de la bande FM, une grande érudition. Surtout en termes de livres tristes.
Enfin Thomas Glaziou, chargé de la vie associative, est l’humble auteur de ces lignes. De retour à Nantes après de nombreuses années dans la-ville-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom (c’est Paris), grand amateur de camemberts devant l’éternel (le diagramme, pas le fromage), il est la personne à blâmer pour la multiplication des smileys dans les mails de JET.
Toujours dans une volonté de décloisonner et "d’horizontaliser" les activités de JET, tous les trois collaborent régulièrement sur des projets communs. En plus de leurs missions respectives, ils ont notamment réalisé cet été la (magnifique) chronique Ça Compte pas pour des prunes, à retrouver en podcast ici. Alors si vous les croisez n’ayez pas peur : le service civique est un animal rare mais chaleureux. Dites leur simplement bonjour, ils vous le rendront de bon cœur.
