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The Russian Fortune, mardi 07 décembre à 19h
NOUS COMMENCERONS par un live que personne ne connait et n’a jamais entendu ... babababababababababababbababababababababa, don’t you know that the bird is the word est un depart pour une ascension de quelques minutes dans un royaume ou les trashmen (eboueurs) donnent une vie aux peaux de bananes. On va calmer les betes avec William Bell et Judith Clay qui Chantaient Private Number chez Stax en ’68 , les faire rever avec Overdose d’ACDC et un texte du moine eunuque. Yard Trauma jou2 par the Music est aussi interressant que Blood Beat. You sing in the rain de gene kelly. Black Byrd du jazz de Donald Byrd : une trouvaille aussi surprenante et ebouriffante que l’Attica Blues d’Archie Shepp. Bladie Mae viendra slider sous les doights de l’albinos texan, Aladin Sane de Bowie, Reality de Neville (soul extasiee) Willie The Pimp, un riff qui reste dans ta bouche quand tu entres, que tu es et juqu’q ce que tu sortes de ta douche par le fameuxxxx Frank Zappa et son album Hot Rats avec la sorciere rose quo veut sortir de l’album. Le Talk Talk original, enfin je crois. Tuesday Night in Memphis du film mystery train de Jarmusch que je vais peut etre regarder cet aprem parce qu’il fait froid. Instant Pussy extrait de la tendresse de Matching Mole, leur premier album. There are no words, j’aime ce titre de Todd Rungrenn et si il a le temps on finira par Smiling Face Sometimes de Rare Earth
J’ai froid aux mains, j’arrive plus a taper sur les touches sans ressentir une decharge electric et j’entend le solo batterie de In a gladda da vida d’iron Butterfly